Les rapports des terrains cristallins et de leur couverture sédimentaire, dans les régions orientale et méridionale du massif du Pelvoux
Cette thèse comporte deux parties principales, intitulées respectivement Stratigraphie et Tectonique, la seconde étant volumétriquement et thématiquement la plus importante. 1/ Dans la partie Stratigraphie sont décrites les caractéristiques des terrains d'âge triasique, liasique, jurassique moyen, callovo-oxfordien et nummulitique. De nombreux affleurements y sont étudiés : des trouvailles paléontologiques permettent de préciser, voire de changer l'âge d'attribution de certains faciès, notamment de celui des "schistes jurassiques" qui s'avèrent être souvent oxfordiens. Les diverses modalités locales de la reprise de sédimentation du Nummulitique sont analysées et les causes de leur variabilité sont explorées. 2/ Dans la partie tectonique l'auteur commence par analyser, en deux brefs chapitres, consacrés respectivement aux failles et aux plis, les données antérieurement publiées sur ces types d'accidents tectoniques en les confrontant avec ses propres observations. Il critique notamment diverses vues d'auteurs antérieurs qui se basaient sur des indices tirés du relief pour en tirer des conclusions sur le rôle prédominant, selon eux, des failles verticales. Dans un troisième chapitre, de loin le plus important, intitulé "les synclinaux sédimentaires et la structure en écailles" l'auteur développe ensuite ses propres vues et ses interprétations. Il y expose les observations qui le portent à considérer que les terrains sédimentaires ne se contentent pas de garnir une surface du socle cristallin, supposée peu inclinée et dénivelée par les failles sub-verticales. Au contraire ces terrains sont souvent engagés dans d'étroites pincées descendant plus ou moins profondément, et avec des pendages plus ou moins forts, dans la profondeur du socle cristallin du massif et recouverts par de lames de socle cristallin chevauchantes, qualifiées d'"écailles". Pour ce faire il passe en revue, selon un plan géographique, les principaux secteurs sur lesquels ont porté ses recherches en détaillant les données nouvelles qu'il y a mises en évidence. l comporte deux parties principales, intitulées respectivement Stratigraphie et Tectonique, la seconde étant volumétriquement et thématiquement la plus importante. 1/ Dans la partie Stratigraphie sont décrites les caractéristiques des terrains d'âge triasique, liasique, jurassique moyen, callovo-oxfordien et nummulitique. De nombreux affleurements y sont étudiés : des trouvailles paléontologiques permettent de préciser, voire de changer l'âge d'attribution de certains faciès, notamment de celui des "schistes jurassiques" qui s'avèrent être souvent oxfordiens. Les diverses modalités locales de la reprise de sédimentation du Nummulitique sont analysées et les causes de leur variabilité sont explorées. 2/ Dans la partie tectonique l'auteur commence par analyser, en deux brefs chapitres, consacrés respectivement aux failles et aux plis, les données antérieurement publiées sur ces types d'accidents tectoniques en les confrontant avec ses propres observations. Il critique notamment diverses vues d'auteurs antérieurs qui se basaient sur des indices tirés du relief pour en tirer des conclusions sur le rôle prédominant, selon eux, des failles verticales. Dans un troisième chapitre, de loin le plus important, intitulé "les synclinaux sédimentaires et la structure en écailles" l'auteur développe ensuite ses propres vues et ses interprétations. Il y expose les observations qui le portent à considérer que les terrains sédimentaires ne se contentent pas de garnir une surface du socle cristallin, supposée peu inclinée et dénivelée par les failles sub-verticales. Au contraire ces terrains sont souvent engagés dans d'étroites pincées descendant plus ou moins profondément, et avec des pendages plus ou moins forts, dans la profondeur du socle cristallin du massif et recouverts par de lames de socle cristallin chevauchantes, qualifiées d'"écailles". Pour ce faire il passe en revue, selon un plan géographique, les principaux secteurs sur lesquels ont porté ses recherches en détaillant les données nouvelles qu'il y a mises en évidence.