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Sommaire
Connaissance des espèces
Un groupe de chercheurs a voulu proposer une analyse spatio-temporelle robuste de l’évolution des surfaces de mangrove à l’échelle globale, à partir d’un jeu de données continues provenant de satellites capables de s’affranchir des mauvaises conditions météorologiques et de luminosité quant à l’observation de la surface terrestre. Les facteurs conduisant à ces évolutions sont renseignés en parallèle. Si la cause générale de perte surfacique de mangrove (et sans doute de perte fonctionnelle dans la foulée) serait due au développement de l’aquaculture, il existe des particularités régionales : en Amérique du nord par exemple, l’un des principales causes de régression des mangroves en termes de surface est liée à l’urbanisation.
Cette étude tente d’apporter des éléments de réponse quant à l’évolution des surfaces de mangroves aux échelles mondiales et régionales, tout en la mettant en relation avec les causes. Si le phénomène de recul des mangroves persiste dans le monde, le phénomène n’est pas uniforme : certaines régions accusent des gains nets, d’autres subissent de plein fouet les mises en culture. L’identification de « points chauds », en termes de gains et de pertes, permettraient de concentrer des efforts de gestion et de conservation de l’écosystème en priorité. Si le terme « activité anthropique » est généralement synonyme de perturbations sur les milieux naturels, il peut également renvoyer à des notions d’utilisation durables des ressources, où la cohabitation est possible.
Consulter l'article original de l'étude : http://base-documentaire.pole-zh-outremer.org/documents/Docs_lies/2017/12/15/A1513366980SD_journal.pone.0179302.pdf
Une nouvelle base de données génétique met en lumière le foisonnement des espèces dans les récifs coralliens des océans Indien et Pacifique. Elle s’inscrit dans un mouvement global d’identification des ressources marines dont l’objectif est d’en améliorer la connaissance et la gestion. Une équipe de scientifiques menée par l’IRD vient de produire un nouveau jeu de données de barcodes des poissons récifaux de Nouvelle-Calédonie, complétant une base de données commune aux océans Indien et Pacifique. Ils ont identifié 805 espèces sur trois sites différents : Ile de La Réunion et Madagascar, Nouvelle-Calédonie, Polynésie Française . Enfin « Le barcoding est un outil très utile car il permet d’identifier les poissons à n’importe quel stade de développement, explique le généticien Philippe Borsa. Une espèce autrefois identifiée comme unique peut en fait regrouper plusieurs espèces aux caractéristiques différentes : le barcoding peut aider à les distinguer. »
Lire l'article de recherche dans Marine Ecology Progress Series : http://www.int-res.com/articles/meps_oa/m583p179.pdf
Le groupe de spécialistes des espèces invasives de l'UICN a apporté une contribution majeure à un article publié récemment dans la revue Scientific Data, qui fournit une description détaillée des données du Registre mondial des espèces introduites (The Global Register of Introduced and Invasive Species (GRIIS)).
Lire et en savoir plus sur the Global Register of Introduced and Invasive Species (GRIIS) : http://www.griis.org/
Une mer plus chaude et plus longtemps, davantage d’algues et de phytoplanctons toxiques, et de nouvelles espèces de poissons, tels sont certains des symptômes du changement climatique observés en Méditerranée.
Une mise à jour de la base de données de l’INPN a été réalisée en ce début d'année 2018 avec l'intégration des résultats des Listes rouges mondiale et européenne (version 2017-3) pour les espèces présentes en France et évaluées par l'UICN. Ces évaluations concernent la métropole et l'outre-mer.
L’étang de Berre n’a jamais eu d’ostréiculture, mais il avait partiellement été colonisé par les huîtres dans les années 1950. Cette situation peut-elle revenir ? Une comparaison avec une baie japonaise peut apporter quelques réponses, et surtout nous encourager à préserver la ripisylve encore importante de l’étang (et des tributaires) et d’y encourager les feuillus.
Le projet FRESHBIO vient d’être retenu dans le cadre de l’Appel à projets Européen « South East Asia – Europe Joint Funding Scheme Research and Innovation ». Ce projet vise donc à :
(1) soutenir les campagnes de codes-barres ADN pour constituer des bibliothèques de référence pour l'identification plus rapide des espèces et le suivi de la biodiversité ;
(2) explorer les tendances historiques de la démographie des populations et des communautés écologiques grâce à la phylogéographie par coalescence et à la phylogénétique ;
(3) estimer l'impact de la conversion des terres sur les pattern de diversité à travers une approche de système d'information géographique ;
(4) explorer la dynamique de l'adaptation et de la résilience des populations humaines aux changements environnementaux.
Continuité écologique
Une équipe de chercheurs canadiens Shad Mahlum et ses collègues ouvrent leur article par un constat désormais partagé par la communauté scientifique en écologie de la restauration et de la conservation : "La restauration écologique et environnementale peut être coûteuse, et une certaine certitude de succès est donc désirable", soulignant le coût cumulé important de ces travaux de restauration écologique. Cette équipe de chercheurs a voulu vérifier si les chantiers ont une efficacité réellement démontrée. Leur analyse avant/après impact conclut que les résultats sont mitigés, avec des cas d'amélioration et d'autres de dégradation.
Lire l'article original de recherche : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/rec.12649/full
Si on en trouve encore en Suisse, c’est uniquement à la suite de mesures de repeuplement. L’anguille figure sur la liste rouge des espèces menacées. Afin d'éviter sa disparition, la FSP réclame des fleuves sans entraves. "Les cours d'eaux sont segmentés, sectorisés, et donc difficiles à franchir", expliquait Maxime Prevedello, membre du bureau directeur de la FSP, dans une émission de la Radio Télévision Suisse francophone RTS . Il souligne l'importance de l'installation d'échelles à poisson pour favoriser la migration piscicole, notamment dans la région du rhin franco-allemand.
Génie écologique
La revue TSM, de décembre 2017, a consacré un dossier sur le génie végétal. Depuis une dizaine d’années, la construction d’ouvrages de génie écologique, utilisant les services écosystémiques et les mécanismes existants en zones humides, est une solution de traitement pouvant répondre aux exigences réglementaires de la DCE. Ces espaces aménagés entre la station de traitement des eaux usées et le milieu récepteur, appelés zones de rejet végétalisées (ZRV), ne sont pas considérés aujourd’hui comme faisant partie du dispositif de traitement. Le projet Zone Humide ARTificielle (ZHART) avait pour finalité de développer et d’industrialiser de nouvelles ZRV assurant des garanties d’élimination des micropolluants, mais aussi de protéger la diversité écologique, et d’en favoriser l’intégration paysagère. Dans ce but des audits hydrauliques, épuratoires et écologiques mais aussi d’insertion territoriale ont été effectués sur plusieurs ZRV. Les résultats ont permis de confirmer le potentiel épuratoire des ZRV ayant un temps de séjour supérieur à un jour. Grâce au développement d’un modèle biologique, le concept de ZRV composée d’habitats typiques des milieux humides a été confirmé. Cette spécificité permet de favoriser les voies d’élimination des polluants et la colonisation d’espèces inféodées à ces milieux. L’étude d’insertion sociale et territoriale des ZRV a mis en évidence la nécessité d’identifier dès l’amont d’un nouveau projet les principaux enjeux locaux.
L'agence de l’eau Seine-Normandie a organisé en septembre 2017 un atelier international avec l’Agence Française de Développement sur le thème « Génie écologique et risques climatiques ». Les témoignages et expertises présentées nourrissent la réflexion sur la place de la biodiversité dans l’action climatique.
Accédez aux présentations en ligne d'études de cas et de projets.
Voir et consulter les études de cas : http://www.water-climate-workshop.com/etude-de-cas/
Voir la vidéo sur les bénifices de l'ingénierie écologique : http://www.water-climate-workshop.com/wp-content/uploads/2017/07/videomotion_ie_benefices.mp4
Voir les projets - Plénière : http://www.water-climate-workshop.com/etude-de-cas/posters-projets/
Politique - Stratégie
Seul un tiers des pays du monde et la moitié des États membres de l'UE atteignent actuellement les objectifs mondiaux en ce qui concerne la connectivité de leurs aires protégées naturelles (AP). Les aires protégées, telles que les sites Natura 2000 ou les parcs nationaux, sont essentielles pour la conservation de la biodiversité et pour le bien-être humain à long terme. Cependant, si les AP sont isolées les unes des autres, il est peu probable qu'elles puissent atteindre ces objectifs. L'étude formule des recommandations spécifiques à l'intention des autorités nationales du monde entier dont la plupart doivent réaliser des progrès significatifs en désignant de nouvelles zones protégées dans des lieux stratégiques de connectivité.
Une note technique du 15 décembre 2017 revient sur le rapport d’activité des services déconcentrés relatif à la mise en oeuvre des politiques de l’eau et de la biodiversité qui est réalisé chaque année par l’administration centrale.
Lire la note technique du 15 décembre 2017 publiée le 24 janvier 2018 : http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/01/cir_42941.pdf
L’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse lance une seconde "initiative pour la biodiversité" en 2018 sous forme d'un appel à projets doté de 4 millions d'euros. Elle cible en priorité les projets des collectivités, associations de protection de la nature, conservatoires et gestionnaires d’espaces naturels qui agissent pour la reconquête de la biodiversité des milieux aquatiques. Les lauréats verront leurs projets financés jusqu’à 60%. Le dépôt des dossiers s’effectue jusqu’au 30 avril.
Lire et télécharger la fiche d'information : http://www.eaurmc.fr/fileadmin/aides-et-redevances/documents/AidesRhoneMed/AAP_Biodiversite/aeaap_biodiversite2_web.pdf
Le rapport constitue l’aboutissement du projet de « Planification nationale en matière de biodiversité en appui au plan stratégique 2011-2020 de la CDB», appuyé par le PNUD et le Fonds pour l'environnement mondial (FEM). Son objectif s’articule essentiellement autour de l’actualisation de la stratégie et du plan d’action nationaux, en particulier en regard à leur cohérence avec la vision du plan stratégique 2011-2020 de la CDB et leur alignement sur les objectifs d’Aichi qui ont été assignés au dit plan stratégique .
Lire la plaquette qui résume le Plan stratégique pour la diversité biologique 2011-2020 et les Objectifs d’Aichi : https://www.cbd.int/doc/strategic-plan/2011-2020/Aichi-Targets-FR.pdf
Le 25 octobre 2017, le Plan Bleu et les cinq institutions membres du projet PANACeA ont organisé à Barcelone un atelier ouvert aux membres de la communauté MED sur la protection de la biodiversité. L'objectif était de permettre aux projets thématiques d'identifier leurs cibles politiques et les actions possibles pour atteindre ces dernières. Les 9 projets ont été répartis dans trois groupes de travail, correspondants aux trois panels de la conférence "Combler les lacunes de l'interface Science-Pratique-Politique pour la protection de la biodiversité" tenue les jours précédents :
- Relever les défis émergents et transfrontaliers de la protection de la biodiversité dans les aires protégées, tels que le changement climatique et la pollution marine;
- La gestion durable des ressources naturelles dans les aires protégées, notamment la pêche;
- Le suivi intégré des écosystèmes dans les zone humides et dans les milieux côtiers et marins.
A la fin de cet atelier, les projets ont décidé, en collaboration avec l'équipe PANACeA, des outils qui seront élaborés par PANACeA jusqu'en 2019 pour capitaliser sur les résultats obtenus par la communauté.
Les chercheurs de diverses structures de recherches (instituts, universités,…) ont récemment publié un article dans la revue PLoS ONE intitulée « Widespread local chronic stressors in Caribbean coastal habitats ». Leur ambition était de fournir des informations sur les facteurs de « stress » permettant d’évaluer d’éventuels changements structurels en cours au niveau des écosystèmes marins côtiers de la Caraïbe. Et surtout de savoir si l’on doit appréhender ces changements à une échelle globale ou locale afin d’identifier l’origine des éventuelles perturbations. Pour ce faire, les auteurs se sont fondés sur l’utilisation de données standardisées issues du réseau Caribbean Coastal Marine Productivity program (CARICOMP). Ce réseau de surveillance comprend plusieurs stations de mesures in situ qui récoltent des données telles que la température de l’eau, sa turbidité, sa qualité, etc. Ce genre de réseau vient en complément des études fondées sur l’imagerie satellitaire, qui, selon les auteurs, limitent les analyses des processus ayant lieu au niveau de l’interface terre-mer. Trois principaux types d’écosystèmes ont notamment été analysés : les mangroves, les herbiers et les récifs coralliens.
Lire l'article de recherche publié dans la revue PloS ONE : http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0188564
Dans cette étude, les auteurs décrivent le changement d'orientation des études de recherche sur les lacs, en considérant en particulier le développement de méthodes d'évaluation des caractéristiques hydro-morphologiques dans les pays européens. En outre, ils veulent contribuer à introduire différentes approches sur le même sujet en mettant en évidence les forces, les faiblesses et les insuffisances de chacun. Un résumé des principales caractéristiques hydro-morphologiques, la typologie de l'étude et la faisabilité sur les lacs est également présenté. Les nouvelles connaissances sur les aspects hydro-morphologiques et la pression sur l'écosystème seront utiles pour développer de nouvelles études et recherches afin d'améliorer la qualité des écosystèmes et de l'environnement.
Réglementation
Informatisation de la police de l’eau et de la nature : sous le nom de LICORNE se cachera désormais le logiciel informatique des contrôles relatifs à la nature et à l’eau, qui est créé par le ministère chargé de l’environnement. Il sera géré par la direction de l’eau et de la biodiversité, et plus précisément par sa sous-direction de l’animation territoriale et de l’appui aux politiques de protection et de restauration des écosystèmes. LICORNE permettra aux agents exerçant des missions de police de l’environnement d’organiser les contrôles effectués dans le domaine de l’eau et de la nature et d’enregistrer les informations recueillies lors des contrôles, les manquements administratifs et infractions pénales constatés, et les suites données en application des articles L. 170-1 à L. 173-12 du code de l’environnement. Le traitement doit également permettre d'établir un bilan de l'activité de contrôle.
Lire le code de l'environnement -Article L. 170-1 : https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=826F79150E711767E66AB39C9672A0CB.tplgfr36s_3?idSectionTA=LEGISCTA000025141907&cidTexte=LEGITEXT000006074220&dateTexte=20180129
Lire le code de l'environnement - Article L. 173-1 : https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=826F79150E711767E66AB39C9672A0CB.tplgfr36s_3?idSectionTA=LEGISCTA000025141837&cidTexte=LEGITEXT000006074220&dateTexte=20180129
Après la sortie en 2017 du guide L’APA pas à pas sur l’accès aux ressources génétiques et le partage des avantages découlant de leur utilisation (APA), la FRB organise avec le soutien de l'Agence française pour la biodiversité (AFB) une matinée de séminaire, le 8 mars à Paris, pour informer et accompagner les chercheurs publics et privés dans la compréhension de l’APA et de sa mise en œuvre. Quelles sont les nouvelles réglementations qui encadrent les activités de recherche et de développement réalisées sur des ressources génétiques ? Que disent-elles ? Telles sont les questions auxquelles le séminaire se propose de répondre...
Question orale n° 0136S de M. Cédric Perrin (Territoire de Belfort - Les Républicains) publiée dans le JO Sénat du 30/11/2017 - Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire publiée dans le JO Sénat du 17/01/2018
M. Cédric Perrin attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur les contradictions entre la réglementation en matière environnementale et l'interprétation qui en est faite par les directions départementales des territoires (DDT) et l'agence française de la biodiversité (AFB). La classification des cours d’eau pose problème. Les règles applicables à un cours d’eau étant contraignantes et coûteuses, les conséquences sont graves pour les collectivités territoriales, et les contentieux se multiplient. Il est nécessaire de faire attention à la surinterprétation par l’administration des critères de définition des cours d’eau. C'est pourquoi il demande, à madame la secrétaire d'État, de quelle manière entende-t-elle éclaircir juridiquement la classification des cours d'eau, qui pose beaucoup de problèmes dans le milieu rural. Quelles mesures sont-elles prises par le Gouvernement pour réduire les coûts obligatoires à la charge des collectivités en matière environnementale ?
Sa question écrite du 2 février 2017 n'ayant pas obtenu de réponse sous la précédente législature, M. Jean Louis Masson (Sénateur de la Moselle) expose à M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire le fait que les articles L. 215-5, L. 215-14, L. 215-16 et R. 215-2 du code de l'environnement traitent de l'entretien des cours d'eau alors même qu'il n'existe aucune définition de ce qu'est un cours d'eau. Il lui demande si un ruisseau qui ne reçoit des eaux que très occasionnellement lors d'épisodes pluvieux significatifs peut être qualifié de cours d'eau.
Trame verte et bleue
Les grandes orientations de la Trame verte et bleue (TVB) font l’objet d’une révision, mise en consultation jusqu’au 11 février sur le site du ministère de l’écologie.
Lire l'article sur le site caissedesdepotsterritoires.fr : https://www.caissedesdepotsdesterritoires.fr/cs/ContentServer?pagename=Territoires/Articles/Articles&cid=1250280439258
Zones humides
La publication du dictionnaire SANDRE "description des milieux humides" en début d’année va permettre une meilleure coordination nationale des échanges de données collectées par tous les acteurs de la gestion des milieux humides. Découvrez la sémantique nationale, les liens réalisés avec les systèmes existants et les prochains travaux nationaux (inventaire, suivi, évaluation, etc.) grâce à cette web-conférence organisée, le 05 février, par l’Office international de l’eau avec le soutien de l’Agence française pour la biodiversité, à destination des gestionnaires de milieux aquatiques.
Comme chaque année, la Société nationale de protection de la nature (SNPN) anime avec ses partenaires la Journée mondiale des zones humides. L’édition 2018 de cet évènement est consacrée à la nécessité, vitale, d’intégrer les milieux humides dans les villes et leur développement. En effet, cette année, le Comité permanent de la Convention de Ramsar sur les zones humides a choisi l es zones humides pour un avenir urbain durable comme thème pour la journée mondiale des zones humides . Le 2 février, nous célébrons la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. Chaque année depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l'occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier. Nous vous proposons de consulter le site de référence en France ( http://www.zones-humides.eaufrance.fr/), du site international Ramsar.org et d'un article rédigé par le journal Le Monde qui propose pour gérer le trop-plein d’eau de manière naturelle et durable de repenser la ville, et favoriser les zones humides... et enfin une actualité qui nous vient d'ailleurs sur les zones humides du Maroc.
Consulter le centre de ressources les zones humides Eaufrance : http://www.zones-humides.eaufrance.fr/
Lire l'article sur le Maroc : plus de la moitié des zones humides ont disparu depuis le début du 20ème siècle (AMCDD) : https://www.emouaten.com/Maroc-Plus-de-la-moitie-des-zones-humides-ont-disparu-depuis-le-debut-du-20eme-siecle-AMCDD_a114222.html
Lire l'article du journal Le Monde : sept solutions pour se protéger des crues ou les li : http://www.lemonde.fr/planete/article/2018/01/25/sept-solutions-pour-se-proteger-des-crues-ou-les-limiter_5247214_3244.html?platform=hootsuite
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