Fin février, on a suivi l'équipe du Groupe Mammalogique Normand dans la vallée de la Sélune dans le Sud-Manche pour trouver des crottes de la loutre.

Des travaux pour réaménager la passe à poissons sur la chaussée du moulin de Montricoux ont contrarié les déplacements des loutres alors que ce mustélidé est très protégé.

Le plan d’actions est un document qui débute par un état des lieux présentant l’espèce, son statut de conservation, les problématiques auxquelles elle est confrontée, les actions menées et les structures impliquées. Ensuite, une stratégie de conservation sur 5 ou 10 ans est présentée sous forme de fiches actions ; celles-ci sont réparties dans trois catégories : étude, protection et communication.

Depuis 2020, le Groupe Mammalogique Breton a mis en place une veille sur les zones de présence permanente de la Loutre d’Europe. Ces zones, des carrés 5×5 km, sont définies comme « à prospecter » si aucune observation de l’espèce n’a été signalée depuis 4 ans.

La Loutre est le mammifère terrestre le mieux adapté à l’élément aquatique : des pattes palmées, une queue taillée pour la propulsion, une vision sous l’eau et une fourrure exceptionnellement dense (60 à 80 000 poils au cm² contre 200 à 600 pour un chien). En breton c'est Ki-dour...chien-d'eau !

Détection de la présence de la loutre pendant le recensement national du castor La loutre est de retour en Suisse. Malheureusement, la loutre est rarement vue. La plupart du temps, les seules traces de loutres sont des épreintes ou des empreintes de pattes. Aujourd'hui, nous savons que la loutre est régulièrement présente dans les cantons de GE, BE et GR (voir https://lepus.unine.ch/carto/70745). A Berne et dans les Grisons, plusieurs femelles se reproduisent régulièrement. Nous aimerions savoir s'il existe d'autres animaux vivant en Suisse en dehors des occurrences connues (par exemple, des juvéniles migrateurs des régions de Berne et des Grisons).

Les épreintes, indice de présence
La loutre (Lutra lutra) est un mammifère carnivore qui se nourrit essentiellement de poissons. Elle est peu visible car c'est un animal discret qui s'active au crépuscule et la nuit. Elle occupe aussi bien les eaux douces, courantes et palustre. La loutre est un carnivore individualiste et territorial qui marque son territoire par un dépôt de crottes (épreintes). Ces dernières sont allongées et essentiellement structurées d'arêtes et d'écailles de poissons, la plupart ont un aspect gluant et huileux. Au nez, l'épreinte se révèle douce, sucrée et très marquée d'une nette odeur de poisson.

L’association, qui œuvre à la protection des poissons migrateurs de nos cours d’eau, vient de publier le bilan préoccupant de ses 7 stations de vidéo-comptage pour 2021.

De nombreux produits de la vie courante (détergents, cosmétiques, médicaments, plastiques) et les pesticides contiennent des molécules chimiques qui interfèrent avec le système hormonal humain et animal. On parle de "perturbateurs endocriniens" (PE). Perturbant les fonctions biologiques de certaines espèces (reproduction, développement sexuel...) ils sont responsables du déclin local des populations.

​Le centre permanent d’initiatives pour l’environnement lance un appel départemental à candidature pour créer ou restaurer des mares à amphibiens. En cette année 2022, une vingtaine de dossiers sera retenue.

La saison des amours a débuté pour les grenouilles, crapauds, tritons et autres amphibiens, et l'heure de la reproduction peut les rendre particulièrement vulnérables. A Poitiers, l'association Vienne nature organise des sorties nocturnes pour répertorier l'habitat de ces petites bêtes, et sensibilise le grand public à leur protection.

Depuis 2016, le Département de la Seine-Maritime installe un dispositif visant à sauver les amphibiens. Une opération réussie pour la survie de l’espèce.

Pour préparer la période de reproduction des amphibiens, sur le point de débuter, salariés et bénévoles de Meuse Nature Environnement ont installé trois crapauducs au bord des routes meusiennes. Une action d’autant plus importante que les populations de crapauds et de grenouilles ne cessent de chuter, en Meuse comme ailleurs.

Ce séminaire s’adresse aux membres de la communauté scientifique travaillant sur la biodiversité des milieux aquatiques, humides et alluviaux du bassin versant de la Loire ainsi qu’aux gestionnaires de ces milieux pour : Faire un tour d’horizon des travaux de recherche menés sur la biodiversité et le fonctionnement de l’hydrosystème Loire et de ses milieux alluviaux depuis le séminaire « Biodiversité ligérienne » organisé par la Zone Atelier Loire et la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels (FCEN) en juin 2018 et Progresser vers un suivi régulier et coordonné des habitats alluviaux et de leur biodiversité.

Chassés pour leur fourrure, leur viande et leurs glandes produisant une sécrétion huileuse odorante, les castors avaient disparu des rivières britanniques au 16e siècle.

Un castor a été retrouvé ce samedi 19 mars dans une écluse en construction à Villemur-sur-Tarn, en Haute-Garonne. L'animal, classé comme espèce protégée en France, a été sauvé et relâché dans son habitat naturel.

BIODIVERSITE Il y a deux semaines, un jeune castor en détresse dans la rivière Tarn a été repêché puis relâché. Il s'agit tout bonnement de la première réapparition en Haute-Garonne de cette espèce protégée

Le recensement de l'Atlas de la biodiversité, commencé dans l'intercom Cœur de Nacre (Calvados), porte ses fruits. Mais une participation supplémentaire est demandée aux habitants.

Les grues cendrées. On les dit annonciatrices du printemps, on pense chaque année qu'elles arrivent, décidemment, de plus en plus tôt. On sait parfaitement à quoi ressemble leur vol en V typique. Mais, finalement on ne sait pas vraiment à quoi elles ressemblent de près. Saviez-vous qu'en Limousin nous sommes des spectateurs privilégiés de ce phénomène qui remonte à la nuit des temps?

Un café des Sciences à l’occasion de la journée mondiale de l’eau ! Une présentation de Georges Grépin et Anaïs Buffard de l’association OSL (Ocean Science et logistic)une association qui contribue la diffusion de la cutlure scientifique et la sensibilisation de l’eau, les fleuves et le milieu marin de Guyane.

Ce n'est pas au peigne fin mais avec un matériel plus adapté, le troubleau (un filet à mailles fines permettant de capturer des espèces aquatiques), que certaines mares du territoire du parc ont été étudiées pendant 3 années. Objectif : mieux connaître leur biodiversité et leur potentiel biologique, en déterminant leur indice IcoCAM.

Les points d'eau sont primordiaux pour que la biodiversité puisse se développer, voire survivre. Dans le Beaujolais, des mares ont été créées pour retrouver les bons équilibres.

En ce début de saison de montaison des saumons, nous avons déjà comptabilisé 2 saumons au niveau de la passe à poissons de Gambsheim. D’une taille supérieure à 90 cm, les deux saumons de printemps ont été observés à l’aide du système de comptage vidéo implanté à la sortie la passe à poissons de Gambsheim.

La Mulette épaisse est une espèce protégée au niveau national, tant pour ses individus que pour ses habitats. Avec les autres moules d’eau douce ou « naïades », elle contribue à filtrer les eaux des rivières et stabiliser les sédiments.

Ce nouveau guide d’identification des principales plantes exotiques envahissantes du bassin Loire-Bretagne est une réédition du document paru en 2018, enrichie de 4 espèces.

En Nouvelle-Calédonie, de nombreux travaux de taxonomie et d’écologie ont été réalisés sur la faune piscicole d’eau douce, entre 1999 et 2009, notamment par le MNHN, conduisant à plusieurs thèses et à la réalisation d’un Atlas (2003), prélude à la mise en place de la première réglementation et des listes d’espèces protégées. Ces études, basées sur les méthodes taxonomiques classiques de l’époque, avaient déjà mis en évidence la difficulté de déterminer certains taxons en particulier chez les Eleotridae, les Gobiidae et les Syngnathidae, et elles supposaient la présence d’espèces cryptiques. La mise à jour de ces espèces au niveau de la Nouvelle-Calédonie revêt donc une importance particulière pour les services qui assurent un grand nombre d’échantillonnages piscicoles et/ou sont en charge de la mise en place de la Politique Partagée de l’Eau (PEP).

La commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée Nationale a confié à Mme Nadia Essayan, députée du Cher (Mouvement Démocrate et démocrates apparentés), et à M. Patrice Perrot, député de la Nièvre (La République en Marche), une « mission flash » sur l’impact des plantes invasives aquatiques sur la biodiversité (à la suite d’une mission déjà faite ce sujet en 2021).

Au sud de la Guyane, le Parc amazonien abrite une biodiversité exceptionnelle : on y compte par exemple plus de 150 espèces d’arbres différents à l’hectare et plus de 200 espèces de mammifères, 520 d’oiseaux ou 220 de reptiles et d’amphibiens…sans oublier les invertébrés dont l’exploration est balbutiante !

Les poissons génétiquement modifiés pour briller en bleu, vert ou rouge sous la lumière noire ont été un grand succès parmi les aquariophiles pendant des années. Mais l'animal fluorescent n'est plus limité aux présentoirs en verre. Les versions rouges et vertes, plus vives que le poisson zèbre normal même à la lumière naturelle, se sont échappées des fermes piscicoles du sud-est du Brésil et se multiplient dans les criques de la forêt atlantique, selon une nouvelle étude.

Dans les Alpes de Haute-Provence, l’Office français de la biodiversité se mobilise pour la préservation d’une espèce de poisson en danger méconnue du grand public : l’Apron du Rhône. Dans ce but, de nombreuses opérations de contrôles, de suivis et d’information sont menées sur plusieurs cours d’eau du département.

Dans le cadre du programme Life Adapto, mené par le Conservatoire du Littoral, et cherchant à explorer des modes de gestion souple du trait de côte, l'équipe Écosystèmes et réseaux de PatriNat a réalisé une revue systématique s’intéressant aux conséquences de la dépoldérisation sur la biodiversité.

Cette synthèse bibliographique a permis de regrouper dans une base de données 255 publications en lien avec le sujet.

Elle souligne un déséquilibre de représentativité dans les taxons et les paramètres suivis par les études, les mammifères, les amphibiens et les reptiles, ainsi que les paramètres de structures (âge, taille des populations, etc.) et de fonctions (croissance, reproduction, etc.) étant peu étudiés.
Elle met également en évidence une diminution de la richesse spécifique végétale et une augmentation de la richesse spécifique en invertébrés et de l’abondance en poissons et en limicoles, suite à une dépoldérisation.

Dans ce colloque, nous nous intéresserons à l’ensemble des interactions entre les aménagements implantés sur ou en bordure des cours d’eau et la qualité des écosystèmes qui les entourent.

À Mesnil-en-Ouche (Eure), neuf mares ont été réaménagées afin de préserver la biodiversité en favorisant l'aspect écologique, hydraulique mais aussi paysager des plans d'eau.

L’agence de l’eau Loire-Bretagne a signé en 2019 une convention de partenariat avec le conseil départemental de la Haute-Vienne. L’enjeu était de renforcer son action pour l’eau et les milieux aquatiques sur le département. Au vu des trois années de mise en œuvre, les acteurs de ce partenariat ont décidé de poursuivre leurs engagements et de renouveler leur convention.

À Soye, village rural de 388 habitants proche de L’Isle-sur-le-Doubs, un demi-kilomètre de cours d’eau a été déplacé pour que le ruisseau retrouve un lit de taille adaptée comme à l’origine. Surtout pour que la ressource en eau soit préservée.

Une vingtaine de retours d'expériences portant sur des travaux d'aménagement ou d'effacement d'ouvrages, réalisés ces dix dernières années, viennent enrichir les quelque 150 fiches de retours d'expérience déjà produites par le centre de ressource sur les cours d'eau.

La nature reprend ses droits dans la Corrèze à Tulle. Trois ans après la fin des travaux de renaturation de la rivière le constat est évident : la faune y est de retour. Plus de poissons, plus d'oiseaux et même, une figure emblématique, on y voit des loutres régulièrement.

Au cœur de la forêt de Grimbosq, au sud de Caen, un étang artificiel a été rendu à la nature. De gros travaux ont permis aux ruisseaux de retrouver leurs cours d’antan. Un changement de décor par nécessité écologique et légale.

Le 11 mars, cinq membres motivés et intrépides du groupe Jeunes en Gironde (33) se sont rendus sur le littoral aquitain afin d’y observer les amphibiens de ces milieux. En voici un petit compte rendu.

Jusqu’au 15 avril, la Société d’histoire naturelle d’Autun-Observatoire de la faune de Bourgogne (SHNA-OFAB) mène une enquête grand public participative sur les amphibiens sur les routes afin d’identifier leurs lieux de passage pour mieux les protéger.

Cette année, les Rencontres porteront sur « Les cours d’eau de Bourgogne-Franche-Comté ». L’événement aura lieu les 23 & 24 septembre 2022 à la Maison du Parc naturel régional du Morvan (Saint-Brisson, 58). Cette nouvelle édition est organisée par l’association fédératrice Bourgogne-Franche-Comté Nature, en partenariat avec le Parc naturel régional du Morvan et l’Agence Régionale de la Biodiversité Bourgogne-Franche-Comté.
Ces deux journées seront rythmées par des conférences, des temps conviviaux autour de stands, de posters scientifiques et d’expositions pour lesquels nous attendons vos propositions ! Les présentations orales auront une durée de 15 min d’intervention suivies par 5 min de discussion.

Les principales thématiques abordées seront :
• Description générale et biologie des milieux aquatiques
• Quantité d’eau et atteinte aux débits
• Qualité de l’eau
• Habitats et morphologies des cours d’eau

Remarque : Si votre proposition de communication ne porte pas sur une étude de site, il est demandé de proposer une approche globale à l’échelle de la région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour soumettre une proposition de communication, de poster, de stand, ou d’exposition, merci de bien vouloir remplir le formulaire et de le renvoyer avant le 22 mai 2022, minuit à l’adresse : alice.guerin@bfcnature.fr

Le Cubaynes, un ruisseau creusois qui coule près de Gentioux-Pigerolles vient d'obtenir le label « Site Rivières Sauvages ». Cette distinction récompense l’excellente qualité de l’eau et l’exceptionnelle biodiversité de ces sites. Deux autres cours d'eau creusois ont déjà été labélisés.

La morphologie de la vallée, l’action des associations et la prise de conscience des élus en matière de défense de l’environnement ont contribué et contribuent à préserver cette rivière.

Hayange. Longtemps oubliée, polluée et bétonnée par l’industrialisation et l’urbanisation de la vallée sidérurgique, la rivière Fensch est désormais au cœur des attentions. Même si la qualité du cours d’eau reste médiocre, la biodiversité s’est améliorée grâce aux travaux engagés. De nouvelles actions sont attendues.

L’EPTB Sèvre Nantaise a créé un outil en ligne pour le suivi des milieux aquatique : Sysma (Système de Suivi des Milieux Aquatiques). Cet outil web avec une interface cartographique et un dictionnaire de données permet de renseigner facilement les données sur les milieux aquatiques et de suivre les travaux. Il est actuellement utilisé par une quinzaine de structures gestionnaires de bassins.

Réunis sous la présidence de Carole DELGA à l’occasion de la Commission permanente organisée vendredi 18 février, les élus régionaux ont approuvé le lancement de l’appel à projets « Lutte contre les macrodéchets dans les cours d’eau », dans le cadre du plan zéro plastique. Engagée dans son Pacte Vert, la Région vise la disparition des déchets plastiques non valorisés ou abandonnés dans la nature en 2030.

Afin de contribuer à la prise en compte de ces enjeux, la Fondation BREIZH BIODIV souhaite accompagner les territoires en bon état à renforcer la convergence du maintien en bon état de leurs masses d’eau et la préservation de la biodiversité. Ainsi BREIZH BIODIV apportera son soutien à des projets intégrés eau – biodiversité de mobilisation citoyenne, s’appuyant sur une opération pilote ou vitrine de mise en valeur, de réhabilitation ou de restauration de milieux aquatiques et de zones humides.

Indispensables pour l’eau potable, l’irrigation des cultures et la santé, les écosystèmes d’eau douce sont soumis à de nombreuses pressions et de rudes épreuves. Leur préservation est aujourd’hui une urgence et une priorité.

Les chercheurs ont mis en place des expériences sur 16 sites aux États-Unis, au Canada, en Suède et en Espagne, afin de noter les effets de l'augmentation des niveaux de chlorure de sodium (l'un des types de sel les plus courants) dans l'eau prélevée dans des lacs.

La Directive cadre européenne sur l’eau de 2000 a été une formidable courroie de transmission entre la recherche et une politique publique environnementale. Affichant pour ambition le rétablissement du « bon état des eaux » continentales à l’horizon 2015, cette directive environnementale fixait une obligation de résultats, alors même que de multiples questions se trouvaient sans réponse au moment de sa mise en place. Découvrez l’histoire d’un défi scientifique posé par une politique publique qui a marqué un tournant dans la relation science/société.

Cette déclaration dresse un état des lieux des positions communes des États membres et réaffirme l’ambition de l’Union européenne dans la lutte contre les principales pressions pesant sur les habitats et les espèces. L'objectif du réseau Natura 2000 apparait ainsi plus pertinent que jamais : dans le contexte du dérèglement climatique, il est essentiel d'assurer la survie à long terme des espèces et des habitats les plus précieux et les plus menacés d'Europe.

La biodiversité est au cœur de notre cadre de vie et de nos activités économiques. Sa préservation est devenue un enjeu essentiel aux yeux de la société civile et des pouvoirs publics. Lors de l’aménagement de nos territoires, les aménageurs doivent aujourd’hui concilier l’installation de projets d’infrastructures avec la préservation des milieux naturels et de l’environnement au sens large. La séquence Eviter-Réduire-Compenser (ERC) est une démarche réglementaire visant, par étape, à éviter, puis réduire et enfin compenser les impacts d’aménagement sur l’environnement.

L'association Indre Nature mobilisée pour faire reconnaître des cours d'eau en Brenne. L'association de défense de l'environnement conteste en effet devant le tribunal administratif un arrêté préfectoral de 2019 établissant la cartographie des cours d'eau de l'Indre.

Dès 2022, un Comité Technique Connaissance de la Biodiversité a été créé et mis en place pour la première fois en mars 2022.
Son acronyme est le CTCB.

POURQUOI CRÉER UN COMITÉ TECHNIQUE CONNAISSANCE DE LA BIODIVERSITÉ (CTCB) ?
À la suite du transfert de la plateforme de géoservices Sigogne et de l’Observatoire Régional de la Biodiversité (ORB) au sein de l’Agence régionale de la biodiversité, il est apparu nécessaire de mettre en place un organe de conseil scientifique et technique.
Ce comité technique constitue une instance d’information, d’échanges et de concertation sur les questions liées à l’organisation de la connaissance de la biodiversité en région. Il assurera l’encadrement scientifique et technique des nouveaux outils de la connaissance arrivés récemment à l’Agence.

Dans de nombreux projets et études concernant les reptiles et les amphibiens, et ce, bien que la présence de certaines espèces (telles que certains anoures notamment) puisse être détectée à vue ou à l’écoute, la capture, souvent suivie de manipulation, avec relâcher sur place (immédiat ou en différé) ou non, reste souvent indispensable. En fonction des espèces concernées, de la finalité des études et de la sévérité des manipulations réalisées sur les individus, cette intervention s’inscrit dans un cadre règlementaire complexe détaillé ci-dessous.

C’est une bonne remarque : comment est-ce possible qu’il y ait tant d’eau dans les grands fleuves qui naissent pourtant au sommet des montagnes sous la forme de simples petits filets d’eau ?

L’objectif poursuivi est de permettre à chacun de disposer les éléments de base pour comprendre la définition d’un terme, d’un concept, et d’ouvrir sa curiosité pour aller rechercher ailleurs les compléments qui peuvent lui être utile. Disposer de ce document permet de disposer rapidement d’une définition qui permet de comprendre un texte.