Les déclins alarmants de la biodiversité d'eau douce nécessitent une biosurveillance efficace à de fines échelles spatio-temporelles, de sorte que les mesures de conservation reposent sur des données précises sur la biodiversité. Ici, nous montrons que la combinaison de l'ADN environnemental (ADNe) extrait d'échantillons d'eau de ruisseau avec des modèles basés sur les premiers principes hydrologiques permet d'augmenter les estimations de la biodiversité des insectes aquatiques à très haute résolution spatiale.

Si l’on veut comprendre comment fonctionne un écosystème fluvial et le protéger, il est essentiel de surveiller sa biodiversité. Mais comment la mesurer ? La méthode traditionnelle consiste à recenser une à une les espèces végétales et animales dans un milieu. Plus elles sont nombreuses, plus riche est la biodiversité. Souvent ce genre d’inventaire reste toutefois théorique et insatisfaisant, il ne rend certainement pas compte de la complexité du monde vivant. Mais on sait, depuis quelque temps, grâce notamment à des recherches menées à l’Université de Zurich (UZH) et à l’Institut fédéral suisse des sciences et technologies de l’eau (Eawag) que l’on peut déterminer la diversité des espèces dans une rivière en étudiant son ADN environnemental. 

Les plus belles rivières de France à portée de smartphones ! Cet été, vous partez en vacances en France ? L’appli mobile « qualité rivière » est faite pour vous. Lancée en 2013 par les agences de l’eau, actualisée chaque année, elle permet d’informer sur l’état écologique des cours d’eau et les poissons qui vivent dans les rivières ainsi que d’accéder en temps réel aux données sur la qualité bactériologique des eaux de baignade issues du ministère de la Santé. Une réponse complète aux attentes des vacanciers, comme des pêcheurs ou des kayakistes, qui fait de cette appli une source de données précieuse notamment en période estivale.

Le projet FAUNAPYR est un projet européen (POCTEFA) qui contribue à la protection des écosystèmes transfrontaliers à travers l’amélioration des connaissances de la répartition des espèces de la faune pyrénéenne. L’objectif de ce projet est de mutualiser, sur un portail unique, l’ensemble des données de faune pyrénéenne.

La pisciculture d’étang représente en France près de 60 000 hectares exploités régulièrement, soit la moitié de la superficie totale des étangs français. Cette production contribue à la préservation de ces milieux humides et de leur diversité biologique. Cet ouvrage présente un état de l’art pour la pisciculture d’étang, référence en matière de gestion du milieu d’élevage et de production d’espèces destinées à la consommation et au repeuplement. Cette réédition prend en compte la nouvelle réglementation sanitaire de 2018.

Ce document peut notamment servir de support de communication et de sensibilisation sur la thématique des têtes de bassin versant, dans le cadre d'échanges entre les animateurs des milieux aquatiques et de la biodiversité, et les acteurs de leur territoire (élus, usagers).

Cette taupe d’Amérique du Nord est dotée d’un nez tout à fait étonnant, formé de 22 appendices épidermiques, glabres et roses, rappelant indubitablement les tentacules d’un mollusque, comme la pieuvre ou le calamar. Ce sont ces 22 appendices en forme d’étoile qui lui ont donné son nom : condylure étoilé ou taupe à nez étoilé.

Des tortues alligators ont été signalées ce mercredi après-midi par des baigneurs, dans le fleuve Hérault, au niveau du Pont du Diable, sur la commune d‘Aniane, à 25 kilomètres à l’ouest de Montpellier. Récemment, des tortues alligators ont été aperçues dans le canal du Midi, du côté de Toulouse.

L'ARRA² organise une journée technique sur le thème "Mammifères aquatiques de rivières : comment anticiper ou gérer leur retour ?" le vendredi 16 octobre 2020 à la Maison de la porte des Alpes à Bourgoin-Jallieu (38).

À ce jour, 568 indicateurs ont été recensés et intégrés dans le catalogue. Chaque indicateur fait l'objet d'une fiche de synthèse contenant un panel d'informations concernant l'Observatoire, les données, l'échelle de restitution ou encore la difficulté de production. Ce catalogue a vocation à être enrichi et actualisé avec de nouveaux indicateurs définis et calculés sur le territoire.

Découvre l’histoire du Rhin sur le nouveau site web OurRhine.eu, fruit du travail commun de la Commission Internationale pour la Protection du Rhin (CIPR), des centres d’accueil des visiteurs dans le bassin du Rhin et de Saumon-Rhin. Ce site est une plateforme numérique ludique et pleine d’informations et de détails intéressants sur le Rhin, la vie subaquatique et la migration des poissons.

Le Campagnol amphibie est un rongeur résidant dans une large gamme de milieux humides : ruisseau, rivière, marécage, tourbière ou bien encore prairie humide. C’est une espèce ayant de fortes exigences écologiques, sa présence étant liée au bon état fonctionnel de son habitat. Ses exigences font de ce petit mammifère une espèce bio-indicatrice de premier ordre pour évaluer l’état des zones humides.

Après plusieurs mois de fonctionnement, une ligne de gabions arrimés à une berge du Rhône dans le quartier de la Guillotière, a attiré plusieurs espèces animales quasiment disparues du centre-ville de Lyon. Et notamment le castor mais pas seulement. Une installation qui récrée de la biodiversité.

Comme à toutes les échelles, la biodiversité régionale régresse, et avec elle les nombreux services qu’elle nous rend. Pour autant, la réussite de toute politique publique pour la préservation et la restauration de cette biodiversité suppose une mobilisation de l’ensemble de la société. Face à ce défi, la Région Hauts-de-France, la DREAL, accompagnés par les établissements publics que sont l’Office français de la biodiversité (OFB) et les agences de l’Eau (AE Seine Normandie et AE Artois Picardie), ont décidé de renforcer la coordination de leurs politiques, pour favoriser les synergies dans les actions développées par tous et partout.

La collection « La Biodiversité en France », initiée avec le livret « 100 chiffres expliqués sur les espèces », s’enrichit de deux fascicules. La version 2020 du livret sur les espèces françaises vient en effet d’être mise en ligne. Combien d’espèces en France ? Combien sont endémiques ? Invasives ou menacées ? Découvrez les réponses à vos questions dans cette mise à jour du livret présentant 100 chiffres-clés sur les espèces de métropole et des outre-mer français.

En 2011, un groupe de chercheurs s'est rendu dans le sud de l'Alabama et du Mississippi à la recherche de l'écrevisse Rusty Gravedigger (Lacunicambarus miltus). Ils voulaient affiner l’aire de répartition de l’espèce et espéraient trouver une nouvelle population à l’ouest de Mobile Bay. Au lieu de cela, ils ont trouvé une espèce d'écrevisses potentiellement non décrite.

Magnifique, féérique, splendide… sont autant de qualificatifs employés à la vue de ce fabuleux phénomène de mangrove rose, la Mangrose. Il s’est produit fin juin en Martinique, marigot de la Taupinière, dans un étang littoral saumâtre très peu profond, caractéristique des îles des caraïbes, dans la commune du Diamant.

En septembre 2019, Simon CONTANT a identifié le Lagarosiphon élevé (Lagarosiphon major) (dans un petit étang communal à Breteuil (60), à l’amont de la vallée de la Noye. Revu et confirmé le 29 septembre 2019 par S. CONTANT et R. FRANÇOIS, il a été noté sur environ 2 m². La pièce d’eau est alimentée par un bras de la Noye et se déverse dans un autre bras de celle-ci. Il s’agit de la première observation de cette plante exotique envahissante dans le bassin de la Somme.

Le polystyrène, en raison de sa structure moléculaire unique, est particulièrement difficile à décomposer. Une étude publiée le 6 juillet 2020 dans la revue spécialisée Applied and Environmental Microbiology, révèle que ces larves sont capables de dégrader le polystyrène. 

Parmi elles, la principale est le Bti, découvert en 1976, qui consiste en spores de la bactérie Bacillus thuringiensis. Ingérée par les larves (aquatiques) de moustiques, elle sécrète des toxinesqui désorganisent le tube digestif, entraînant la mort de l’animal. Parmi elles, les libellules, les araignées, les amphibiens, les chauves-souris, les oiseaux insectivores et les musaraignes. «Le Bti a gagné du terrain en s’immisçant de plus en plus dans les milieux naturels exempts de toute démoustication préalable. Est-ce le résultat de notre déconnexion croissante à la nature où tout ce qui ne nous paraît pas utile doit être éradiqué?

La dégradation des écosystèmes d’eau douce est bien plus rapide que celle de leurs homologues terrestres. Un collectif de scientifiques américains et européens a réalisé une synthèse très complète qui légitime un cri d’alarme : l’impact des activités anthropiques sur la biodiversité des cours d’eau est parfois irréversible.

Si tous les poissons se déplacent entre différents secteurs, les migrateurs se distinguent par les distances parcourues entre des eaux douces et salées. Ces véritables aventuriers peuvent voyager jusqu’à plusieurs milliers de kilomètres afin d’assurer leurs besoins biologiques : naître, grandir, vivre et se reproduire. Ces espèces emblématiques font partie du patrimoine naturel et culturel des territoires qu’elles traversent. Mais protéger les poissons migrateurs, c’est bien plus que protéger quelques espèces…L'agence de l'eau Seine-Normandie accompagne des actions de restauration des habitats, d'effacement d'ouvrages, de continuité écologique etc ... pour permettre à ces voyageurs d’effectuer naturellement leur cycle de vie.

De nombreux systèmes sensoriels sont plus connus que d'autres, mais tous sont essentiels à la survie. Ceux-ci incluent les sens généralement décrits par Aristote vers 300–400 avant l'ère commune (BCE), tels que la vue (vision), l'ouïe (audition), le toucher (somatosensation), l'odorat (olfaction) et le goût (gustation). Cependant, de nombreuses années d'efforts scientifiques ont montré que ces cinq sens ne représentent qu'une partie des capacités sensorielles qui sont maintenant connues dans tout le règne animal aquatique. Le répertoire étendu des sens comprend la capacité de contrôle vestibulaire (équilibre de la perception), la sensation de température (thermoréception), la conscience posturale (proprioception), la surveillance de la douleur (nociception), l'utilisation du sonar (écholocation) et la détection des faibles champs électriques (électroréception) et magnétiques (magnétoréception).

L'AFB et la Fédération départementale des Alpes de Haute Provence se mobilisent pour la préservation de l'apron du Rhône dans le Verdon. Durant l’été, l’Agence Française pour la Biodiversité et ses partenaires se sont, comme chaque année, mobilisés pour veiller sur la population d’aprons du Rhône, espèce patrimoniale menacée par la sur-fréquentation touristique et par l’introduction d’une espèce envahissante, le gobie à tâches noires. Dans ce cadre coopératif, les agents du service départemental AFB et de la FDPPMA ont réalisé pendant le mois d’août des prélèvements d’ADNe à l’amont du lac de Sainte-Croix (Alpes de Haute-Provence/Var), avec l'aide du Parc naturel régional du Verdon. Ces opérations techniques visent à détecter la présence de Gobie sur les secteurs où l’Apron est présent.

Le réchauffement climatique que nous sommes en train de vivre est rapide et c’est bien là le problème. Alors évidemment, on cherche à comprendre les effets de la hausse des températures des milieux sur les êtres vivants : quelles espèces sont les plus menacées, pourquoi, et comment l’estimer de façon fiable ? Une publication est sortie tout récemment dans Science (3 juillet) et relate les travaux de chercheurs allemands (Université de Brême, Institut Helmholtz de biodiversité marine fonctionnelle, centre Helmholtz pour la recherche polaire et marine) qui se sont penchés sur la question du réchauffement des eaux et des effets sur les poissons en cherchant : – à déterminer quelles sont les étapes critiques où les espèces sont particulièrement impactées, – à identifier les processus biologiques qui sont les plus sensibles et pourquoi. 

L’association LOGRAMI a imaginé un kit pédagogique, gratuit et téléchargeable sur son site internet, afin de mieux comprendre et protéger les poissons migrateurs.

A partir du 1^er juillet et jusqu’au 31 octobre, la région des Pays de la Loire organise pour la seconde fois son programme « Pays de la Loire Grandeur Nature ». Celui-ci donne l’occasion de vivre de belles aventures, à la découverte de la biodiversité du territoire ligérien et de ses richesses.

L’organisme de bassin versant (OBV) du fleuve Saint-Jean a mis en œuvre une cartographie participative accessible au public afin de permettre à l’organisme de recenser les poissons exotiques envahissants dans le bassin versant du fleuve Saint-Jean.

Jusqu'au 15 septembre 2020, communes et intercommunalités peuvent déposer leur candidature pour l'appel à projets « Atlas de la biodiversité communale » (ABC) lancé par l'Office français de la biodiversité (OFB). De nombreux partenaires institutionnels, régionaux, et associatifs sont associés à cette initiative.

Cette enquête vise à affiner les connaissances sur ces espèces et notamment de mieux appréhender leur aspect patrimonial, certaines étant sans doutes menacées.

La Fédération des Conservatoires d’espaces naturels (FCEN) a récemment lancé une enquête dans le cadre de l’animation du réseau d’acteurs espèces exotiques envahissantes du bassin Loire-Bretagne. Celle-ci porte sur les chantiers bénévoles, qui sont assez fréquemment utilisés pour gérer des espèces exotiques envahissantes, mais aussi plus largement pour impliquer les citoyens dans la protection de l’environnement. L’enquête cherche à mieux connaitre les conditions actuelles d’organisation de ce type de chantiers (sur les EEE ou non) afin d’identifier les besoins des gestionnaires.

La fédération de l’Oise voulait voir s’il existait une prédation intensive des silures sur les aloses au barrage de Carandeau. Finalement, elle a procédé à un calcul sur la corrélation entre la présence de silures dans la passe à poissons et d’autres espèces. Cela correspond au preferendum thermique des silures, mais aussi à la période de reproduction des silures et des aloses. Cela laisse penser qu’il n’existe pas réellement de prédation intensive des silures sur les aloses au niveau du barrage de Carandeau. De plus, la comparaison des données sur la température et sur le passage des espèces dans la passe à poissons n’est possible que sur une année.

Les nombreux ouvrages et infrastructures installés sur les cours d’eau représentent des obstacles à la libre-circulation des poissons et perturbent leur cycle de vie. Aussi la mise en place de dispositifs de franchissement piscicole fonctionnels est souvent nécessaire. Sur la Durolle, rivière salmonicole du Puy-de-Dôme, la technologie d’identification par radio-fréquence a été mobilisée avec succès pour évaluer le franchissement par la truite commune d’une buse de 104 mètres de long aménagée pour rétablir la circulation piscicole.

Malgré les efforts de gestion (limitation voire interdiction de pêche), les travaux d’amélioration de la continuité écologique, les populations de poissons migrateurs sont en difficulté. Ainsi, la situation de la Grande Alose, 10 ans après l’instauration du moratoire sur la pêche est toujours très inquiétante. Des études et actions de gestions sont menées sur la Garonne pour mieux connaitre les causes et améliorer la situation. Le SMEAG porte des études sur la qualité de la Garonne et son impact sur les poissons migrateurs. Une journée est consacrée, chaque année à la présentation du bilan de l'avancée de ces actions et de l'état des populations de poissons migrateurs.

Comment améliorer la gestion de nos ripisylves ? Quelles bonnes pratiques adopter face aux nouveaux enjeux ? Deux journées et demie vous sont proposées en octobre 2020 à Orléans (45) pour favoriser les échanges entre gestionnaires et chercheurs autour de la gestion des ripisylves.

Dans le cadre du plan de reprise des investissements pour l'eau, l'agence de l'eau Loire-Bretagne lance un appel à projets pour agir en faveur de la biodiversité et des solutions fondées sur la nature en permettant aux espèces piscicoles de réaliser leur cycle de vie.

Le Cerema mène une démarche innovante autour des solutions fondées sur la nature et de leur impact sur les territoires, à travers des conventions de recherche et développement avec trois bassins versants. L’objectif est d’évaluer les services écosystémiques rendus par la nature aux acteurs du territoire, c’est-à-dire l’impact des solutions fondées sur la nature, et de déterminer une valeur monétaire pour ces services. Il permettra d’évaluer l’attachement de la population à la vallée du Léguer, et à quantifier de manière subjective l’apport économique de la rivière.

Un annuaire accessible en ligne au service des acteurs du génie écologique. Ce projet, soutenu par le Ministère de l’Écologie, a pour but de fournir aux maîtres d’ouvrage publics et privés un outil leur permettant d’identifier par région les entreprises privées de la filière du Génie écologique.

Thème majeur de la nouvelle Stratégie biodiversité de la Commission européenne doté d'un budget de 80 millions, avec 20 millions par proposition, donc avec pour objectif de financer 4 réseaux européens de sites de restauration, avec au moins 3 partenaires d’au moins 3 pays pour chaque proposition.

Après une longue phase de préparation, les travaux de restauration physique du Briançon ont débuté en septembre 2019 par la suppression de la végétation excédentaire, la démolition de murets et l’évacuation de l’amiante. La phase de terrassement a concerné 130 000 m3 de terre à évacuer et redéployer le long du lit mineur. Le projet bénéficie d’un financement de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, du fonds européen FEDER, de la région Occitanie et du département du Gard.

L’Association fédérative des acteurs de l’Ingénierie et du Génie Écologiques (A-IGÉco) et ses partenaires lancent la troisième édition du Prix national du Génie écologique. Organisé depuis 2014, ce Prix permet de valoriser des projets de génie écologique de qualité, et de montrer que le génie écologique peut répondre à de nombreux enjeux opérationnels. Il contribue à travers les projets lauréats à partager les bonnes pratiques en faveur de la biodiversité et à favoriser le développement de cette filière en émergence.

Création de l'Agence Bretonne de la biodiversité. Au service de la biodiversité bretonne, 6 actions sur le terrain en 2020 : Gestionnaires d'espace naturel, aires éducatives, cartographie des acteurs, ateliers pédagogiques, formations, communication.

Plus de 70 personnes étaient présentes les 7 et 8 novembre à Biovallée-Le Campus à Eurre dans la Drôme, pour la restitution du plan national d’actions en faveur de l’apron du Rhône, l’une des espèces les plus menacées de France et un formidable indicateur de la qualité de nos cours d’eau.

La Convention sur la diversité biologique a pour objectifs « la conservation de la diversité biologique, l'utilisation durable de ses éléments et le partage juste et équitable des avantages découlant de l'exploitation des ressources génétiques » (article premier). Elle est ainsi le premier accord mondial complet à prendre en compte tous les aspects de la diversité biologique : les ressources génétiques, les espèces et les écosystèmes. 

Enregistrée à la Présidence de l’Assemblée nationale le 15 juillet 2020

Règlement délégué (UE) 2020/990 de la Commission du 28 avril 2020 complétant le règlement (UE) 2016/429 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les conditions de police sanitaire et les exigences en matière de certification zoosanitaire applicables aux mouvements d’animaux aquatiques et de produits d’origine animale issus d’animaux aquatiques au sein de l’Union
(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE) – JOUE du 10/07/2020

Plusieurs modifications allant dans le sens d’une simplification ont été apportées à la nomenclature relative aux installations, ouvrages, travaux et activités (IOTA) ayant une incidence sur l'eau ou le fonctionnement des écosystèmes aquatiques par un décret du 30 juin 2020.

Ce dimanche 26 juillet 2020 a lieu la Journée Internationale des Mangroves. A cette occasion, le Pôle-Relais Zones Humides Tropicales (PRZHT), co-piloté par le Comité français de l’UICN et le Conservatoire du Littoral, publie une cartographie satellitaire de l’ensemble des 87773 hectares de mangrove des Outre-mer d’une précision remarquable.

Le SMEAG a le plaisir de vous informer qu’une journée technique zones humides est programmée le jeudi 10 septembre 2020 à la base de loisirs de Saint-Nicolas-de-la-Grave (82210). Lors de cette journée, le volet zones humides et les leviers d’actions associés seront présentés, à l’occasion de l’approbation prochaine du SAGE. Les autres politiques zones humides et des retours d’expérience concrets mis en œuvre sur le territoire seront également présentés. Enfin une visite terrain d’un site ayant fait l’objet d’une restauration clôturera la journée.

Cette analyse des données de 2019 permet d’évaluer l’état de conservation des habitats et des espèces considérées comme d’intérêt communautaire et prioritaires car menacés de disparition, vulnérables, rares ou endémiques.

Le CREA Mont-Blanc fait désormais appel à l’imagerie satellitaire pour étudier l’évolution des zones humides de montagne. Cette approche novatrice couplée aux observations de terrain permet de mieux comprendre l’adaptation de la biodiversité de ces milieux naturels au changement climatique.

Quinze organisations se sont associées en 2017 sous le nom d’Off Your Map, pour traiter de manière commune la question de la conservation des zones humides côtières en Méditerranée. Elles présentent dans une nouvelle publication leurs travaux communs novateurs pour la préservation et la restauration des zones humides côtières en Méditerranée.

Le CREA Mont-Blanc fait désormais appel à l’imagerie satellitaire pour étudier l’évolution des zones humides de montagne. Cette approche novatrice couplée aux observations de terrain permet de mieux comprendre l’adaptation de la biodiversité de ces milieux naturels au changement climatique. Auteur de l’étude, Brad Carlson, vous en dit plus sur ce projet qui a pu voir le jour grâce au soutien de partenaires publics et privés, parmi lesquels la Fondation Terre d’Initiative Solidaire et la Fondation Caisse d’Epargne Rhône-Alpes.

Dans le cadre de la nouvelle Stratégie biodiversité de la Commission européenne un appel à projet paraitra le 18 septembre 2020. Code de l’appel « LC-GD-7-1-2020 ».