L’épuration végétalisée s’ouvre à de nouveaux marchés
La « filière française », comme on l’appelle, la seule à traiter les eaux brutes, a fait ses preuves depuis une vingtaine d’années pour les petites collectivités. Ce mode de dépollution biologique se développe dans plusieurs directions, par exemple vers l’assainissement non collectif, notamment depuis que les solutions proposées bénéficient d’un agrément. Plus récemment, grâce aux travaux de R&D engagés par plusieurs PME, Irstea et des laboratoires académiques, les filtres plantés de roseaux permettent de traiter certaines eaux industrielles, voire des eaux de ruissellement dans de plus grandes villes.
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